Ni le talent de Spinoza, ni celui de Calaferte mais celui de Villemain :)<br /> Les mots. Silex et diamant, dit Calaferte aux mots crus et acerbes. <br /> La rage et l'envie de faire passer le message, compose Iron Maiden.<br /> Et les années passent et voici : A Matter of Life And Death<br /> Et en attendant, Artaud nous souffle encore que j'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même.

La confusion me connaît. Et si ça peut vous rassurer, adolescent, je ne lisais (ni cherchais) aucun des livres de Calaferte, Montherlant ou Artaud. Par contre, j'étais assez spécialiste d'Iron Maiden...

"Perséverer dans son être", oui ; autre manière de dire la même chose, assurément. Je n'ai donc ni le talent de Calaferte, ni celui de Spinoza... (quel scoop !)

Un vieux contentieux avec Polac m'empêche d'adhérer totalement à votre enthousiasme... M'enfin c'est subjectif, donc en partie faux, en tout cas insuffisant.<br /> Pour le reste, j'apprécie la coïncidence à sa juste mesure: il est sain et rassurant que deux lettrés de Mazarine s'empare en même temps des situations de Calferte...

Vous vous doutez peut-être combien ces mots auraient pu être les miens s'ils avaient moins bien dits.<br /> De Calaferte, je n'ai lu que "La mécanique des femmes" quand j'étais adolescent (ahem, je jure que je cherchais "Les jeunes filles" de Montherlant mais j'ai réussi l'exploit de me tromper à la fois d'auteur et de titre) et, surtout, "Le requiem des innocents". Quant à Septentrion, je n'ai pas réussi à le finir.<br /> C'est curieux, je dis souvent Artaud en pensant Calaferte. De là à tomber sur Montherlant...<br /> <br /> (Désolé pour l'éventuel doublon)