lundi 16 février 2009

Et que morts s'ensuivent : David Vincent, librairie Mollat

La grande librairie bordelaise Mollat vient de commettre sur son blog, Ces mots-là, c'est Mollat, une critique ma foi plutôt très élogieuse de mon recueil de nouvelles.

L'article se conclut ainsi :

Cruel comme un Barbey, élégant comme un d'Aurevilly, Villemain ne fait pas dans le Grand Guignol ni dans le spectaculaire, il contient la rage qui anime sa plume sans cette compassion morbide dont toute une partie de la profession littéraire nous accable, sans cette gentille cruauté qui ne nous fait même plus sourire. Il y aurait beaucoup à dire sur ces nouvelles qu'un rapide coup d'œil comme celui-ci trahit. Retenons surtout que
Et que morts s'ensuivent signe avec éclat l'arrivée dans le genre de la nouvelle d'un nouveau cador.

Vous pouvez consulter l'intégralité de l'article en cliquant sur Mollat (fichier au format pdf) ; ou encore en vous rendant sur le blog de la librairie Mollat, ici.

Posté par Villemain à 13:32 - - Commentaires [6] - Permalien [#]
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