26 mars 2013
Une critique de Céline Righi (L'Anagnoste)
De cannes et d'épées L e vieux ne parle plus ou alors seulement parfois du bout des yeux. Comme fossile sur son banc, il se souvient d'avant, se bat avec l'antan, miné par la blessure. Ses joues sont blanches et douces et sur sa peau de talc on voudrait...