Editeurs vs auteurs ?
C'est un texte un peu différent - un peu plus long, aussi - que je propose aujourd'hui au titre des "chroniques moratoires" du Salon littéraire.
Au début, il y est question du livre que Rodolphe Barry vient de faire paraître (Devenir Carver, chez Finitude), ainsi que des relations entre Raymond Carver et son éditeur Gordon Lish. Et puis, forcément, après, ça dérive un peu...
Pour en savoir plus, c'est ici.
Mais qu'est-ce que ça dit ?
Dans la chronique moratoire donnée ce vendredi au Salon littéraire, il est question - ou semble être question - d'art, de pensée et d'enthymème...
Larqué, Rocheteau, Christian Bobin et la démocratie
Sixième chronique moratoire, aujourd'hui sur Le Salon Littéraire, entre choses fort graves et facétie - n'allons pas toujours chercher un sens à tout : il arrive qu'il se dérobe à moi-même...
Pour en savoir plus, c'est ici.
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Du triomphe de Bruce Lee par temps d'élections
Une nouvelle chronique moratoire est en ligne sur Le Salon Littéraire.
Sous prétexte d'élections, il y est un peu question du dernier livre de Camille de Toledo, (à moins que cela ne soit l'inverse, et que, sous prétexte de parler de Toledo, etc.).
Les cloîtres de la liberté : chronique moratoire, 3
Une troisième chronique moratoire pour Le Salon Littéraire : Les cloîtres de la liberté.
Aujourd'hui, il est question de la difficulté d'être un chroniqueur (un vrai, je veux dire...), du rôle que joue la connaissance dans notre (in)capacité commune à porter un regard sur le monde, et puis, last but not least, de Paul Valéry... Pour lire, cliquer sur l'image.
Un train, des rails : Chronique moratoire, 2
Un train, des rails : c'est le titre de ma deuxième chronique moratoire publiée ce jour sur Le Salon Littéraire - et ce sera comme ça un vendredi sur deux.
Il y est question d'un désir très puissant de s’installer peinard en bordure de champ et de regarder les trains passer... A lire ici.
Chroniques moratoires sur le Salon littéraire
Mes très magnanimes lecteurs apprécieront peut-être d'apprendre que Le Salon Littéraire, qu'anime l'écrivain Joseph Vebret, m'a convié à y tenir chronique.
La chose se produira donc tous les quinze jours, un vendredi sur deux, sous le titre de Chroniques moratoires.
Lesquelles chroniques j'inaugure aujourd'hui même avec un texte intitulé La bataille de Solferino et le temps du monde fini.
Pour y accéder : cliquer sur l'image