Il faut croire au printemps
C'est dans quelques jours, le 11 mai, que paraîtra aux Éditions Joëlle Losfeld mon nouveau roman, qui, après Il y avait des rivières infranchissables et Mado, vient refermer ce que j'appelle un peu présomptueusement ma « trilogie du tendre ».
Il faut croire au printemps racontant une histoire très simple mais plus complexe à résumer qu'il y paraît, je n'en prendrai pas ici le risque. Il suffira au lecteur de savoir qu'il y est question d'une histoire conjugale qui tourne (très) mal, de la possibilité de l'amour après le drame, de la relation entre un père et son fils, de certains mensonges (nécessaires ?) à la reconstruction d'une existence, enfin de tout un tas d'autres petites choses que le lecteur affûté saura lire entre les lignes. Tout cela sur un air de jazz et avec quelque trompeuse allure de polar, et en vous emmenant du côté d'Étretat, sur les côtes d'Irlande et dans les massifs bavarois - bref, on y fait aussi beaucoup de voiture.
Le roman sera lancé - avec douceur - le 11 mai à 19h à la librairie l'Écume des Pages (Paris 6è) en présence de ce merveilleux comédien et ami qu'est Claude Aufaure, qui vous en lira même quelques pages.
N.B. : Merci à Hubert Artus qui, dans le n° 518 de Lire / Le Magazine littéraire, se fait déjà écho de cette publication et y loue « une écriture qui suggère, griffe et caresse ».